Autre registre tout aussi kitch: on aime ou on n'aime pas, on chante dessus ou on se moque des autres, on danse dessus ou on fait tapisserie, on délire dessus ou on passe son chemin. Là je souhaite faire une dédicace à DALIDA. Pas la chanteuse, mais celle qui était surnommée ainsi dans certains bars gays de la cité rennaise à la fin des années 90.
Dalida (la chanteuse cette fois) a été une grande inspiratrice de nos soirées délires étudiantes dont une particulièrement nette dans mon esprit où affublées de grands boas, paillettes et faux cils nous avions arpenté le pavé rennais une soirée entière. Probablement un de mes meilleurs souvenirs étudiants parti d'un délire et improvisé lors d'une sortie shopping avec un "chiche?"
Dalida c'est comme Barbra Streisand (évoquée dans le précédent post): des classiques de filles qui savent ne pas se prendre au sérieux et qui assument leurs gouts musicaux éclectiques.
Combien de fois à un feu rouge n'ai-je pas chanté: "Laissez moi danser, laissez-moi. Laissez moi chanter, danser en liberté" avec l'autoradio poussé à son max.
Combien de fois ai-je rétorqué à Loulou lorsqu'il me dit "attends" (ne fermes pas la porte par exemple ou pour descendre la poubelle) : "J'attendrai, le jour et la nuit, j'attendrai toujours ton retour"
Combien de fois n'avons nous pas chanté en coeur le Lambeth Walk ? "écoutez moi ce swing, god save the queen"
Combien de fois n'ai-je pas rétorqué à Loulou à sa promesse de baisser la lunette des toilettes:
"Paroles, paroles, Paroles.
Paroles, paroles, Paroles.
Paroles, paroles, Paroles.
Paroles, Paroles, Paroles, Paroles, Paroles.
Et encore des paroles que tu sèmes au vent".
Combien de fois en me préparant pour un rendez-vous galant n'ai-je pas chanté: "J'ai mis de l'ordre dans à mes cheveux, un peu plus de noir sur mes yeux..."
Combien de fois n'ai-je pas déliré sur Bambino ou Gigi l'Amoroso.
Combien de fois n'avons nous pas dansé et chanté Salma Ya Salama? (en version arabe ou française d'ailleurs!)
Dalida (la chanteuse cette fois) a été une grande inspiratrice de nos soirées délires étudiantes dont une particulièrement nette dans mon esprit où affublées de grands boas, paillettes et faux cils nous avions arpenté le pavé rennais une soirée entière. Probablement un de mes meilleurs souvenirs étudiants parti d'un délire et improvisé lors d'une sortie shopping avec un "chiche?"
Dalida c'est comme Barbra Streisand (évoquée dans le précédent post): des classiques de filles qui savent ne pas se prendre au sérieux et qui assument leurs gouts musicaux éclectiques.
Combien de fois à un feu rouge n'ai-je pas chanté: "Laissez moi danser, laissez-moi. Laissez moi chanter, danser en liberté" avec l'autoradio poussé à son max.
Combien de fois ai-je rétorqué à Loulou lorsqu'il me dit "attends" (ne fermes pas la porte par exemple ou pour descendre la poubelle) : "J'attendrai, le jour et la nuit, j'attendrai toujours ton retour"
Combien de fois n'avons nous pas chanté en coeur le Lambeth Walk ? "écoutez moi ce swing, god save the queen"
Combien de fois n'ai-je pas rétorqué à Loulou à sa promesse de baisser la lunette des toilettes:
"Paroles, paroles, Paroles.
Paroles, paroles, Paroles.
Paroles, paroles, Paroles.
Paroles, Paroles, Paroles, Paroles, Paroles.
Et encore des paroles que tu sèmes au vent".
Combien de fois en me préparant pour un rendez-vous galant n'ai-je pas chanté: "J'ai mis de l'ordre dans à mes cheveux, un peu plus de noir sur mes yeux..."
Combien de fois n'ai-je pas déliré sur Bambino ou Gigi l'Amoroso.
Combien de fois n'avons nous pas dansé et chanté Salma Ya Salama? (en version arabe ou française d'ailleurs!)
Allé dédicace double et depuis Nantes j'imagine Dalida (ma cops cette fois) qui commence à avoir le feu au corps en entendant ces deux titres!!!!!!!
Mais de qui parles-tu dans ce post?????
RépondreSupprimerhéhéhé... au choix: la brunette à binocles ou la sportive arc-en-ciel...
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